jeudi 28 février 2013

"En bas nylon, col mou et colt dur"

Peter Rascal? Connais pas... Dans la jungle des pseudos et des seconds couteaux (parfois mieux affutés que les premiers) du polar sexy, il y a encore beaucoup de pseudonymes à défricher...

Je ne vous ferai pas le plaisir de vous raconter l'histoire de Chérie Noire, si vous êtes curieux vous n'avez qu'à cliquer sur ces quelques images et découvrir par vous même ce petit salopard pervers de Peter Rascal (car c'est aussi le nom du personnage) qui cite Thomas Carlyle aussi facilement qu'il glisse ses sales pattes entres les cuisses des dames...

Les plus fainéants d'entre vous se contenteront des images qui envoient sacrément du bois ! Ça oui ! En fin de post, la couverture de Votre Paris (éditions S.E.C.T.I. à Maubeuge (Maubeuge underground représente!)), magazine éphémère dont il y eut au moins 2 numéros puisque celui-ci est le deuxième (je suis vraiment passé à côté d'une carrière de détective) comme il y en eut tant dans les années 50, suivant le modèle de revues plus stables comme Sensations ou Régal dont on a déjà parlé ici, à coup de scans furieux et curieux. Il y a tant d'autres choses à poster dans cette petite revue qu'elle fera sûrement l'objet d'un autre post, mais chaque chose en son temps... Je vous laisse avec les pépées au colt aussi rapide que la descente de leurs bas, bon voyage !













dimanche 24 février 2013

Harry Smith, Oz: The Tin Woodman's Dream (1967)

Ceux qui suivent ma page sur facebook auront peut-être remarqué à quel point le cinéma y occupe désormais une place de plus en plus importante (la vie est faite de rencontres...)

Je suis désormais drogué aux captures d'écran, de celles qui vous font vous relever la nuit en vous disant "ce plan était magique, il me le faut!".

De sa naissance en 1923 dans l'Oregon à sa mort au Chelsea Hotel en 1991, Harry Smith a traversé le XXème siècle américain dans tout ce qu'il a produit de novateur et avec une curiosité sans borne qui en font une figure assez admirable. Sa passion pour la musique folk et jazz notamment, son intérêt pour les spiritualités de tous horizons, sa figure de "pionnier" du cinéma expérimental américain (il y en eut d'autres, certes), font de lui un sacré putain de chic type!

Voici sa relecture du Magicien d'Oz à la sauce psychédélique, Oz: The Tin Woodman's Dream, qui date de 1967.

(Les plus curieux trouveront cette petite perle en téléchargement peu légal mais si jouissif sur surrealmoviez)